• (et pour ton boule de pré-été)

    (sinon je ne fais que passer)

    (mais c'était trop booon pour que je me le garde par devers mon égoïsme)

    (qui finalement n'est pas si monumental, n'en déplaise aux hyènes)

    (asta la vista baby)


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    cette petite poulette met de la joie dans les oreilles. en voilà au moins une qui ne nous flagellera pas avec du "mozart l'opéra rock" (je découvre de ces trucs, moi, à la télé).

    et dire que je pourrais être sa MUM.

    bon sang. chéri chéri, ressers-moi donc un alcool fort.

     

    http://www.myspace.com/poupoupidhou

     


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  • si quelqu'un me cherche ces jours prochains, je suis du côté du passage pommeraye.

    ps: en revanche le footing de nuit, comme domi, ce sera non. j'ai jamais eu le souffle pour chanter en courant (et inversement).

     


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  • l'avion, l'harmonica, les lunettes noires, la nonchalante morgue dylanienne, la fille longue, ses seins, pff, furtifs (est-ce que c'était la même, sur la piste aux étoiles de joséphine?). je me souvenais plus qu'on entendait les camions derrière. j'avais oublié ce petit bijou du temps où il n'y avait ni myspace ni youtube. à l'époque, petit padawan, des fois des trésors comme celui-là, ça te prenait par surprise, sur l'écran de ta télé même pas plasma, et puis ça ne revenait pas forcément, c'était tout comme les seins de la brune, là, un truc merveilleux et déjà enfui, peut-être merveilleux car déjà enfui, je sais pas, comme une nuit de fête. one shot. alors on était tout de suite juste dans le souvenir et dans la perte, dans un souvenir de moins en moins précis, comme un parfum qui s'efface et qui te laisse pourtant pour toujours, comme un bonheur qui serait aussi un chagrin. et c'était tout le contraire de maintenant où rien ne se perd, où tout est encore là, quelque part, à portée, sur la toile, il suffit d'à peine chercher, il suffit de cliquer. serait-on exactement les mêmes, nous autres, les filles de 1975, si tout ce qui nous a fait les oreilles et le reste existait encore ailleurs que dans nos vieux coeurs ?

    volutes (partent en fumée).

     

     


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    la mienne a même pas l'âge d'avoir un cartable.

    n'empêche.

    là, sur mes bras, il y a des poils au garde à vous et pis là, dans ma poitrine, ce truc qui serre fort, et pis là, dans mes yeux, un truc que si quelqu'un se pointait, là, tout de suite, je dirais : "c'est rien, c'est les acariens."

    ça s'peut pas d'avoir autant de talent, si ?

     


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