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    en même temps nous on est bloqués sur "bouba, tu glisses sur la blanche blanche neige" alors un rien nous impressionne...

     


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  • je suis pas encore partie, je me déplie. après tous ces jours tendus, tendue, ces jours où je devais prendre mon shoot d'adrénaline chaque matin pour ne pas faire de la journée à venir un fiasco terrible, une vautrade -je ne sais pas ce que j'imagine, en fait: que je m'arrête, juste, peut-être?? que je pleure en public? que je déserte??- c'est bien d'avoir un sas, un endroit où il fait 22°, bras nus, avec les arbres en feuilles et ma fille qui ramasse des pissenlits en disant que c'est beau, les marguerites. eh, attends, on n'est pas botanistes, nous autres. on est journalistes, ça n'a, mais alors, rien à voir. dans le miliard de trucs que je n'ai pas eu le temps d'écouter ces semaines folles, il y avait ça. permets moi de te dire que si ça ne donne pas la grosse patate, au moins, ça fait l'âme plus forte.

     


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  • le dernier it-bag, les bijoux, comment te dire à quel point je m'en finalement fous?

    en revanche, quand je lis même dans le télégramme de brest -pas exactement le NME tu vois- que le concert de funeral party aux transmusicales c'était juste de la bouboule nucléaire, eh ben tu vois, j'ai beau avoir un enfant, un chien, un crédit sur 25 ans et des pattes d'oie, je rage. si tu sonnais tout de suite pour me dire que t'y étais, et que c'étaient un peu les nouveau strokes les garçons, c'est possible que je te claquerais une beigne. d'élémentaire jalousie.

    il faut savoir se regarder en face des trous comme dirait laurence de koh lanta.

    cette fille est comme le stick mennen, elle a toujours une largeur d'avance. niveau connerie, mais dois-je vraiment le surligner?


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