• eh bien andy...

    shoe.

    très nettement, d'ailleurs.

    http://www.myspace.com/harlemshakes (avec un homme qui chante comme s'il était un 22 pistepirkko)

    photo: cette énOOOrme chaussure nude -tu vois, bénétie, je fais des efforts pour m'y mettre- est britonne.

     


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  • dans la série "tu veux bien être ma copine, diiiis", je vous présente :

    leslie plée.

    alors oui elle porte le même prénom qu'un être cher -ceux qui me connaissent auront ce petit sourire en coin qui caractérise la personne contente "d'en être", même si "d'en être", des fois, comme là, c'est vraiment à deux doigts "d'en être" de la loose, enfin bon moi c'que j'en dis- et ça tombe bien, car elle pourrait bien en devenir un, d'être aimé. sauf que bien sûr je ne lui dirais pas "niche, vilain chien" quand elle aura essayé de se coucher en boule sur mon bébé. ah ah ah (glop). en plus elle a fait l'iut métiers du livre et vend des livres dans le genre de magasin où vous êtes obligés de porter un atroce gilet sans manches, tout comme 12 000 personnes de mon entourage (vous vous en foutez, mais c'est parce que vous avez la méchanceté en vous, j'imagine, sinon cette information vous laisserait pantois).

    enfin bref, sa bédé vient de sortir, ça s'appelle "moi vivant vous n'aurez jamais de pause" et son blog est là http://www.vuedelaprovince.canalblog.com/ 

    bonne journée & toutes ces choses.

     

     


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  • non, on ne va pas encore parler du BFJ (le boyfriend jean, bande de peintres). on en peut plus trop trop du BFJ (enfin sauf sur punky), ce jean stupide qui fait la patte tellement courte que si tu n'accessoirises pas A MORT (en voilà une belle manière de soutenir l'industrie du luxe, chérie-chérie: quoi de mieux qu'un habit affreux à fort potentiel enlaidissant pour t'inciter à changer de it-bag et de it-shoes et de it-lunettes tous les trois mois?) tu es une verrue. car demande à n'importe lequel des boyfriends de ta connaissance si le si "coooooooooooool" BFJ flatte ta croupe: je te préviens, sa réponse va te sembler un rien cruelle (mais si ton boyfriend est un homme réel, et non virtuel comme on le dit de l'économie, je pense qu'il ne répondra pas à cette question, car un homme normal a horreur de donner son avis sur ces trucs. pas because il ne comprend rien à la mode -ça,c'est entendu- mais juste parce qu'il a la terreur de donner la MAUVAISE REPONSE. celle qui sera suivie d'une rafale de questions et/ou remises en question de l'amour de la part de sa douce, cette femme intranquille).

    des fois on en a légèrement marre de l'imagination des mad men du marketing pour nous faire dépenser toujours toujours plus et toujours plus en dépit du bon sens. car tu me diras l'intérêt de foutre 200 euros dans un jean mal troué et mal foutu qui, si tu pèses 52 kg, donne l'impression à la terre entière que tu es valérie damidot. vu que moi j'ai déjà une frange blonde tu penses à quel point je vais m'abstenir, hein...

    à lire en tout cas sur ce thème qui fait griller les neurones de la blogosphère : le très languedebitchien (but funny!) commentaire de www.besnob.com sur ce sujet déjà bien rebattu ici (archives à l'appui).

     parlons du concept des vacances à l'intérieur du congé mat'. autrement dit: le cadeau surprise à l'intérieur du kinder.

    20°, des citronniers, du mimosa, du risotto à l'encre de sèche (mama mia), du chianti sur le port, des marinières, trois petits poulets et des questions existentielles: "la sieste au soleil maintenant ou après le shop-shop?"

    je vous salue bien.

    http://www.myspace.com/empireofthesunsound

    photo: la riviera, quoi.


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  • ce qui est bien logique avec moi, c'est que lorsque je dis que je vais aller réfléchir au loin, dans une grotte et/ou une cabine handicapés (la poussette vaut apparemment handicap pour les vendeuses de l'espagnol, comment faut-il exactement le prendre et demanderaient-elles à une véritable fashionnette en fauteuil d'attendre que j'ai fini de mal éduquer ma fille derrière le rideau jamais assez large, et pas seulement depuis que j'ai moi-même, eh bien repoussé les limites de mon corps, fin de cette trop longue parenthèse), je billette tous les jours. "souviens-toi l'été dernier de pierre et le loup" pourrait me tancer ma reine mum. certes. mais je sens le retour au burlingue se préciser et du coup, ouhh, je poste, je poste comme une petite folle. c'est toujours 5 mn avant de partir que les enfants s'amusent le plus aux goûters d'anniversaire.

    bref.

    faut-il redevenir rousse, ou bien ?

    je fais comme une fixette. toutes les filles sublimes me semblent rouquines. le roux is mystérieux. le roux is coquin. le roux is beautiful. et poétique. et wild et... je me souviens de ma crinière au henné et je pleure: on dira ce qu'on voudra des produits naturels, mais ça détruisait moins la fibre que ces saloperies de mèchages à la franck provost. de plus, être blonde, lorsque l'on est gourde comme huit mains gauches, est-ce que ce n'est pas à la fin comme une grosse redondance ? donderie? de soi-même? hum? et puis marre de laisser 90 euros à ce chien de franck p. marre de ses éprouvantes conversations commençant par "on a un hiver vraiment merdique, non?" (variante: "on a un été vraiment super, non?") et se terminant par "je vous mets un peu de fixateur (à 55 euros le pshitt, été comme hiver, et la réponse est toujours nonNONMERCI!)?" le henné, j'allais chez l'arabe du coin, ça coûtait genre dix balles, je niquais toutes les serviettes de la salle de bain avec mais au moins, après, j'avais le crin lustré à se mirer dedans. ça faisait un truc comme: "salut, j'ai des petites flammes autour de ma tête". j'aimais bien (malgré la grosse connotation baba du truc et alors que je n'ai jamais été assez cool pour être bab').

    bon, on est d'accord que vouloir passer du henné à AUTRE CHOSE est vraiment une immonde galère et qu'il faut s'attendre à des échecs couleur cuisants le temps que cette saloperie (certes naturelle) se casse : si j'ai adoré les bonnets, de longs hivers durant, il y a une raison. et cette raison est: mes cheveux ORANGES.

    d'autre part, hop, ma question à la noix: quand on devient une vieille dame, peut-on encore être rousse sans faire violemment sonia rykiel (une dame qui fait des super rayures, mais qui fout aussi les miquettes) ? ne vaut-il pas mieux rester blondasse comme une cagole de la côte? ou faut-il entamer une quête de soi, une quête du sens, et tenter de retrouver sa vraie couleur (ce châtain plus croisé depuis 1990) ?

    une autre fois peut-être piap' aura quelque chose de fascinant à dire.

    but it's not cette fois-ci.

    ps: la fille magique, là, a été chopée par le face hunter. limite elle me ferait aimer les animaux morts.

     


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  • bonjour, je m'appelle ava et je suis une droguée.

    sinon, bon lundi chez vous (sans jean neige, par pitié, tenez bon) !

     


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