pendant qu'ici tout s'écroule sans bruit -stats, désir d'influer positivement sur les susdites, de résister au parfum des madeleines maison- horst tapper vient d'arriver au paradis du tergal. parfois la mode n'a donc qu'à la boucler (ce qui m'arrange...
un leroy-merlin bucco-rhodanien (même si tout laisse présumer du contraire, je le précise: cette expression n'est PAS un truc sexuel), un aprem de novembre, il y a toi & puis ta mère. pas le rayon "oooh, les jolis stickers" pour jouer à véro damidot,...
tu es sérivore. tu veux dire à un point pathologique, tu veux dire depuis toujours: c'est les années 80, tu es à la cantoche, et soudain, c'est le drame: les gosses ont tous des gueules comme si on avait marché sur la lune, enfin comme s'ils avaient,...
mercredi, si je parviens à soudoyer des gens pour qu'ils zappent les soldes et dégustent à la place une bonne partie de rire avec un jeune nourrisson de ma fabrication, l'idée est que je revienne dans le monde des adultes. je pense à une carte bleue,...
il me semble qu'aujourd'hui, nous avons progressé sur le chemin de l'intelligence émotionnelle & de la parentalité, dans l'étude psychologique de l'enfant, enfin, de sa version avec léger duvet au-dessus de la lèvre supérieure, portable multi-options,...
les bilans, c'est pas trop ma cup of darjeeling. c'est pas que j'aime pas, c'est que tout file hors de moi, les idées, les souvenirs, les dates & les noms, je mélange tout, je superpose, je suis un coeur d'artichaut, toujours un truc chasse l'autre, j'ai...
j'ai encore rêvé que j'avais une histoire sexuelle avec sammy decoster. puis ma fille m'a réveillée: il était 4h. une heure sympathique pour wakuper, quoi ! en tentant de retrouver sammy, un petit peu plus tard, dans les remugles de lait caillé (je sais...
hier, nous avions cette conversation passionnante, moi & vous autres, sur le fait de précipiter la fin du monde, la chute de nos âmes et de notre espérance de vie. comme aujourd'hui j'ai encore vécu tout un tas d'expériences humiliantes ayant trait au...
alors me revoilà, quoi :-) ! tyrano dort dans sa cage (soudain, un lit à barreau semble prendre tout son sens), une personne entrant chez moi avec des babygros & une boîte de marrons glacés sous le bras ne risque pas de glisser sur une couche malencontreusement...
va donc, eh ! dita von teese ! quand je ferai la danse des sept voiles à mon mari transi (d'amour, mais aussi de froid), c'est ce genre de dessous affriolants qu'il découvrira. pas des rubans, pas des dentelles, pas des bidules qui vous font les hommes...
ah la la ma vieille martine! jamais vu un truc pareil ! je te rappelle que je vis dans une ville où il ne fait jamais froid -ou alors c'est le mistral, mais ça ne compte pas-, je te rappelle que chez moi c'est le south avec des terrasses toute l'année....
non, on ne va pas encore parler du BFJ (le boyfriend jean, bande de peintres). on en peut plus trop trop du BFJ (enfin sauf sur punky), ce jean stupide qui fait la patte tellement courte que si tu n'accessoirises pas A MORT (en voilà une belle manière...
ne faites pas d'enfants : déjà, si vous avez vu "noces rebelles" (quelqu'un peut me dire comment on se remet d'un film pareil??), vous n'en avez pas hyper envie. après si vous vouliez inscrire vos fesses au concours de "mon booty, je le shake", non plus....
pas de campari, pas d"huile solaire, pas de garçons de la plage, pas de peau brûlée par le soleil. mais des ciels noirs, des montagnes âpres, des rades bouillants, et du rock, forcément. la voiture, et nous dedans, tout en haut du haut du nord de l'europe....
eh bien salut, derniers survivants de ce blog déserté pour cause de cessation de ma vie de desperate housewife. on dira ce qu'on voudra sur les femmes d'intérieur, mais non seulement elles sont mieux coiffées que moi (quand tu dois choisir entre un brushing...
bien le bonsoir. tu vois, nous sommes quasiment en tête à tête, tes yeux dans les miens, nos intelligences épuisées de 20h07 l'une à l'autre connectées. oui je sais, ce blog, c'est un peu comme un parking désert: c'est... flippant. mais que veux-tu, je...
sans être totalement obsédée par le temps qui file (des rides au coin des yeux), il y a des jours où tu es obligée de méditer sur ce concept un petit peu surréel: le jour où tu fêtes tes TRENTEQUATRANS, par exemple (ne vous affolez pas, c'est demain:...
l'odeur des écoles vides, ces printemps-là, la tête des assesseurs, oh, bonjour madame michu, ça vote bien aujourd'hui, oui, non, peut-être, la douce france, le temps suspendu, les dessins des enfants qu'on ne connait pas sur les murs, des fois un petit...
intérieur jour. un open space de la PFQQI * "oh, alerte rouge, reuter me dit qu'alexander mac queen is dead!" "attends mais ça fait pas super longtemps qu'il était mort le mec ? moi j'aimais bien ses westerns." moi je te le dis, jeune padawan, bosser...
j'étais devant les images de cartier-bresson ce week-end -puisque je n'ai pas vu sean connery en écosse, j'ai fini par rentrer- et je me disais : "ma bonne ava, tu vois, la vie, souvent, c'est exactement le contraire d'une photo à riton." ça n'est pas...
à quoi voit-on aisément que l'on n'est pas sortis de l'auberge, nous autres? quand ton enfant de même pas 14 mois se met à parler et que les mots qui sortent -avec la spontanéité mystérieuse de l'enfance- de sa petite bouche ne sont pas popo câlin dodo...
il y a des vérités qu'on se prend soudain in "la face". par exemple? derrière un porte-bébé ou une poussette (4 roues, 15 kg, merci ebay, quoi), apparemment, les hommes ne parviennent plus à t'apercevoir. tu es: une ombre dans la ville. la mère. leur...
petite, je pensais que si je me concentrais très fort, j'allais apprendre le japonais, à conduire une meule, à arrêter le furet et le masque d'argent et, genre, à être fantômette fingers in the nose. la force de l'esprit, tu vois. d'une certaine façon,...
on me l'avait dit, je demandais encore à voir. eh bien martine, tout était vrai : acte 1. ta fille se casse chez mémé. tu es sur le quai, à saint-charles, avec une seule pensée en boucle MON DIEU COMMENT VAIS-JE SURVIVRE UNE SEMAINE SANS LITTLE PEOPLE...
ces jours-ci je me sens comme un éleveur argentin au milieu d'un congrès de végétaliens. entre mon corps et moi, il y a comme une sorte de trève, une sorte de constat (eh bé va falloir faire avec) plutôt que de lutte vaine (mais pourquoi je suis pas gaulée...