de mon "elle" tout boursoufflé (à + 20 centimes ni vu ni connu j'te plume) de la semaine, je retiendrais deux choses : 1. la beauté tellement inouïe, et j'ai envie de dire stupéfixante (Harry Potter, sors de mon corps, chenapan), de doutzen kroes et une phrase qui remet 99,99% des filles de ce monde à leur place, c'est à dire vilaines et grises sous les sublimes pieds de doutz', mais vraiment très en-dessous, et quand je dis en-dessous, je pense au centre de la terre voire un peu plus bas : quand doutz' voit un homme qui lui plait, quelle est sa botte secrète, lui demande cette bonne sophie fontanel qu'on devine bouche bée: "je souris et il vient" répond la Créature. c'est tout, c'est simple. je.souris.et.il.vient (comme un... chienchien???). il faut soupeser tout l'invraisemblable power du truc. pour choper, doutz, elle a pas d'abord besoin de s'enfiler les 450 pages d'un spécial beauté plein de conseils épatants comme "pour vous faire la bouche de doutz', c'est fastoche les filles, un peu de baume nourrissant et quelques grains de sucre et le tour est joué ah ah ah, ne nous remerciez pas", elle s'en fout si sa über bouche est burlat, ou nude, ou griotte, doutz', et il me semble qu'elle pourrait même s'habiller comme teki latex, ou je ne sais pas, comme catherine laborde, elle serait juste La Femme On This Earth, doutz', free like a bird avec tous nos hommes comme de petits animaux désarmés et fascinés face à ses "babines retroussées". grrrwao, quelque part. doutz, doutz, doutz, j'ai envie de dire: finalement, ne viens pas dîner mercredi.
l'autre truc intéressant dans mon "elle", c'est ce "laissez-moi mes addictions" sous forme de "ma nouvelle thèse psy que j'ai et que je vais vous exposer sans attendre". alors juste quand j'entre dans ma semaine de sevrage et de CB froide, le coup du lâchage de bonnes résolutions, moi je dis coup bas. juste quand je me reprends en main, juste quand on est seulement lundi. je suis jamais en phase avec le truc trendy du neurone de la semaine, moi. mes addictions, j'essaie de les soigner, et pas pour être dans "la norme" (quelle idée étrange), juste parce qu'arriver au 5 du mois avec un compte en banque sous la ligne de flottaison c'est peut-être une "expérience humaine", mais pas non plus passionnante, enfin j'en connais des plus fontaine de joie, j'en connais des plus "eh, ce serait pas de la baraka, là, ma life?" on en causait tout à l'heure avec ma chris qui m'expliquait, son satané NOUVEAU gilet gris esprit sur le dos, qu'elle s'était calmée côté mastercard en fibrillation. ah ah ah. on est tellement proches elle et moi parfois qu'elle me prend par mégarde pour son chéridamour: c'est pas qu'elle me roule des pelles, c'est juste qu'elle commence par me servir les mensonges la diplomatie dont elle use avec lui pour justifier cette étrange habitude qu'elle a et qui consiste en gros à vivre chez ikks, avant de se rappeler qu'en face, eh, mais c'est bibi, madame PEB bulgare. et bon, là elle m'avoue que deux robes à 270 euros de tara jarmon tentent de lui faire les poches et blablabla, et blablablabla, et au final je nous connais, avant vendredi à nous deux on aura claqué le premier smic de sa fille (lulu, 5 ans). donc "laissez-moi mes addictions", je rigole, de toute façon on a beau se raisonner tous les 5 du mois (en ce qui me concerne), on peut pas faire autrement. se battre contre l'envie de flambe, contre ce petit frisson casino royale (sans aucun daniel craig en slip bleu à l'horizon, pourtant) c'est du mission impossible (deux fines références cinématographiques en une seule phrase creuse, moi je dis que l'asbtinence me réussit). à la fin je me dis que tout ça, ce grand n'importe naouak de penderie, c'est juste pour se venger de pas être mademoiselle "je souris et il vient". parce que doutz', là, même enroulée dans un abat-jour à franges, je sais pas, mais elle a quelque chose de voldemort pour l'ego, nan?