• ton prof de chimie en narco !

    eh, salut. deux posts dans la même journée, écoute, je ne sais pas ce se trame. la montée de ma sève. une bonne humeur. une journée de boulot avec des beaux gosses dedans (ce dimanche j'avais breakdance chérie). va savoir. deux mille ans après tout le monde, je voulais attirer ton attention sur la série la plus noire qui soit, j'ai nommé "breaking bad". je te fais le pitch: un prof de chimie minable découvre qu'il a un cancer en phase avancée et se met à fabriquer de la meth pour faire du fric et mettre sa famille à l'abri au cas où il rencontrerait la grande faucheuse rapidement. dit comme ça, dis donc, c'est pas gai. en vrai non plus. la maladie, les fins de mois difficiles, un hallucinant niveau de violence, d'emmerdements, tu n'as pas envie d'y plonger après tes 12 heures de boulot éreintant, les courses à monop et les gosses à torcher? je peux te comprendre. et en même temps. ce serait ballot. déjà parce qu'il faut que tu apprennes à regarder une assiette cassée, et jaune, d'un oeil neuf. ensuite parce qu'après l'encensement des journaux dépressifs pour jeunes filles, il est bon de vendre à la ronde les séries pas "youpi la galette". et puis comme je dis souvent: y a pas de mal à se faire du mal. et puis merde, on n'a jamais rien capté à nos cours de chimie et c'est con parce qu'on aurait su comment fabriquer une arme nucléaire avec une ardoise magique.

    dans un tout autre genre (énormément de pwalade je dois dire, mais pas que), "misfits" a été ma petite dose de crack de ces dernières semaines. des ados merdiques en TIG sont frappés par la foudre et au lieu de se réveiller tout morts, se réveillent avec des super pouvoirs. ça ressemble à heroes sauf qu'on est dans une banlieue pourrie de la perfide albion et que nos super héros sont surtout d'incroyables jeunes branleuristes, comme dirait l'autre. dedans il y a un petit gars, écoute. si j'avais actuellement 18 ans (et non, écoute, merde, n'en parlons pas) je serais probablement en train de gagner londres à la nage pour l'obliger à me marier. et pourtant on parle d'un garçon à fesses en noisettes. et tu sais (ou non) que j'ai du mal avec les mecs qui nagent dans mes slims. mais là. écoute. ma sève?

    quand tu auras fini de regarder la télé, on parlera peut-être de la vie et ou du fait de découvrir un dimanche aprem au burlingue que tout le monde possède une maison de vacances près de ta maison de vacances, je veux dire ton hâvre lozérien où c'est que normalement personne va jamais. si la lozère devient de la hype excuse my french mais je vais peut-être aller fabriquer de la meth à la cave.

    photo: mon branleur de "misfits". avec un m comme dans miamiam.


  • Commentaires

    1
    MaPomme
    Dimanche 17 Avril 2011 à 23:29
    C'est du propre, tiens !
    Et je parle du jeune branleur irlandais, hein, pas de la meth, faut bien vivre...
    2
    MaPomme
    Dimanche 17 Avril 2011 à 23:29
    C\'est du propre, tiens !
    Et je parle du jeune branleur irlandais, hein, pas de la meth, faut bien vivre...
    3
    Louise
    Lundi 18 Avril 2011 à 08:50
    la lozère so 1979
    viens en Ariège, prends le petit train jaune et retrouvons nous au pied d'un chateau hérétique. J'avais maté breaking bad y'a 200 ans (sans accrocher plus que ça) mais ne connait pas misfits. On va voir si les sites de streaming veulent bien m'en montrer qqes épisodes d'accord?
    4
    Lundi 25 Avril 2011 à 21:09
    et plouf
    "misfits" c'est 3 jours d'apnée et bien beaucoup de poilade. c'est à se demander si un "fuck ya" bien gros, bien gras peut réellement rendre sexy. je suis encore proche de mon 18eme printemps et j'hésite à apprendre à nager.
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