• des fois c'est samedi. des fois je suis en after "baby sitter, je te kiffe", à me remettre tout doux des bars et de l'absence de mesure en toute chose. des fois y a de la matinée longue et moelleuse et pour ne rien faire d'autre que... rien.
    rien, c'est parfois pas mal du tout. 
    sur france 2 (france 2 qui avait finalement encore des choses à me dire dans une langue que je peux comprendre, dans une langue qui ne serait ni en chêne, ni en comm', ni en laurentdelahousse, mais une langue vivante), eh bien
    le bonheur dure six minutes.
    et il commence un petit peu après 13h15.

     


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  • quoi que quoi qu'est-ce? es-tu parfaitement en droit de te demander, attendu que je suis CENSEE avoir déserté piap' pour aller, for premier example, redevenir la professionnelle pleine de morgue que j'étais (tapez 1), rattraper environ une année de non-picole (tapez 2) et que j'ai DEJA posté en ce bon vieux mercredi. accepte mes confuses, je ne le ferai plus (ou si peu). c'est juste qu'il y a foot et que quand yoan gourcuff ne joue pas, honnêtement martina, je ne vois pas hyper l'intérêt.

    bref.

    comme hier soir j'étais trop dans les vapeurs délétères de l'ivresse pour suivre ma vieille "nouvelle star" toute pourrie de 2009, je suis allée me faire un petit rattrapage par-ci, par-là et donc je suis tombée là-dessus chez yahoo (sans douleur particulière, grâce à ma très grande souplesse) :

    "

    ...

    Mais de toute façon, on savait depuis le début que Thomas allait partir puisqu'au cours de la mini-séquence avant l'émission, il était le seul habillé d'un pantalon en cuir. Et c'est la loi - irrémédiable et attestée depuis les débuts de la Nouvelle Star - un candidat qui porte le pantalon en cuir est un candidat éliminé. Rien que cette année : Melissa, Madhi, Dalé et Damien, tous ont porté un pantalon en cuir le soir de leur élimination."

    tu me vois éberluée !

    moi qui croyais que le seul vêtement maudit était la culotte bandana. non, non, non, pas une culotte fabriquée avec un foulard un jour de panne de sous-vêt'. une culotte impression bandana (ou snoopy ou trop "confort", familière et affectueuse comme un petit animal ou tout au moins une paire de chaussons isotoner, la marque qu'elles préfèrent) c'est toujours ce que tu portes sur tes fesses le soir où tu chopes (je parle d'un temps que les moins de 20 ans... etc). les jours où tu étais partie pour décrocher la queue du mickey (pardon) dans tes froufrous à 2000 dollars le gramme, généralement tu rentres finir le pot de ben & jerry (hot fudge), on n'est pas d'accord? je n'ai jamais très très bien compris cette loi des séries qui t'oblige néanmoins à tamiser la lumière même si par exemple c'est le plein jour estival, ce moment de la rencontre de ta fidèle bandana avec un être humain étranger. dans la même série je peux être sûre, absolument certaine, que lorsque je mets une robe fofolle, c'est mistral: hier soir, tiens. des gens tenaient ma robe pendant que j'interviewais leurs copains. tu vois ma situation. quand on m'a tendu un verre de fête des voisins, ça a failli être le drame de mon corps nu simplement habillé d'une cagoule et d'un lumix.

    bref.

    tout ça pour dire mais vraiment rien, quoi !  sinon qu'il parait que le motif bandana is back.

     


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  • (et pour ton boule de pré-été)

    (sinon je ne fais que passer)

    (mais c'était trop booon pour que je me le garde par devers mon égoïsme)

    (qui finalement n'est pas si monumental, n'en déplaise aux hyènes)

    (asta la vista baby)


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  • petite, je pensais que si je me concentrais très fort, j'allais apprendre le japonais, à conduire une meule, à arrêter le furet et le masque d'argent et, genre, à être fantômette fingers in the nose. la force de l'esprit, tu vois. d'une certaine façon, je crois encore que ma tête est comme un genre de père noël, une chouette mécanique, et que si je suis très gentille avec elle et si je lui demande bien poliment, elle va me permettre de tout mener de front comme une femme rexona millésime 1984. mon cerveau est mon ami, contrairement, par exemple, et pour ne citer qu'eux, à mes abdominaux-minables.

    on est bien présomptueux, des fois, ouh la.

    mais ma tête est une vieille tête, finalement, et cette vieille tête-là a bien du mal à ne pas se disperser dans tous les sens depuis quelques semaines. je me concentre, je me concentre et puis ça fume, et puis ça grince, et puis ça envoie des étincelles un peu partout autour et à la fin c'est la plaquette de nurofen qui y passe. et je parle toujours pas japonais. et j'ai encore oublié sophie la girafe. et j'ai pris trois rendez-vous à 10h, mardi, sauf que je ne sais plus avec qui, ni même où. c'est donc le moment où, devant une foule (de deux personnes) qui n'en peut mais je le concède:

    non, je ne suis pas une surfemme.

    oui, je sais :

    ta stupeur.

    imagine donc la mienne.

    bref. piap' va se mettre sur pause un petit long moment. le temps de raccrocher tous mes wagons et de reprendre le contrôle de la loco. 

    c'est pas des adieux, j'ai horreur des adieux, et si ça se trouve dans trois jours j'aurais retrouvé mon rythme et une heure le soir pour folâtrer par ici avec de merveilleuses histoires de ma loose habituelle.

    c'est juste un genre de ciao ciao baby.

    http://www.myspace.com/sebastienschuller ("open organ", mes fesses complètement par terre, dis donc !)

     

     

    celle-là n'est pas mal non plus pour pleurer des petites larmes, mais alors de joie.


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